Deux femmes
Parfums mêlés, cheveux défaits
Corps enlacés qui roulent et ondulent,
Sans trêve, dans un mouvement parfait.
Baisers, gémissements, spasmes violents,
Les mains qui glissent sur les bas de nylon
Et les lèvres avides qui sans se désunir
Disent sans les mots les pensées de l'amour.
Tendresse infinie, infinie tendresse,
Pour la grande fête des cœurs en liesse.
Deux femmes entre elles, et seules au monde,
Deux femmes qui s'aiment sans fronde
Et qui n'ont nul besoin d'être jugées,
Vilipendées ou dans l'opprobre figées
Corps enlacés qui roulent et ondulent,
Sans trêve, dans un mouvement parfait.
Baisers, gémissements, spasmes violents,
Les mains qui glissent sur les bas de nylon
Et les lèvres avides qui sans se désunir
Disent sans les mots les pensées de l'amour.
Tendresse infinie, infinie tendresse,
Pour la grande fête des cœurs en liesse.
Deux femmes entre elles, et seules au monde,
Deux femmes qui s'aiment sans fronde
Et qui n'ont nul besoin d'être jugées,
Vilipendées ou dans l'opprobre figées
Ces mots magnifiques m'ont été confiés
il y quelques temps par un ami,
je vous permets de les découvrir aujourd'hui
il y quelques temps par un ami,
je vous permets de les découvrir aujourd'hui
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