Elle est partie
Appel téléphonique, trains à prendre, et me voici
sur la terre de mes racines.
Je la vois allongée, froide, immobile à jamais.
Cette femme faisait partie de ma famille,
et avec qui je ne communiquais plus depuis longtemps,
les années ne nous ont pas séparées,
nous n'avons fait que nous croiser.
Et aujourd'hui pourtant, je la revois jeune et désirable
avec mes yeux d'enfants,
la Parisienne avec toute son aura
pour la petite Corrézienne
que j'étais alors.
Je me souviens mes frères, mes sœurs, tels que nous étions
avant que la vie ne nous éparpille.
Et mes larmes coulent sur le sablier intraitable du temps
qui s'écoule inexorablement.
A toi qui est passée,
aux moments que nous aurions pu prendre ensemble,
je te dédie par delà l'espace ces quelques mots.
sur la terre de mes racines.
Je la vois allongée, froide, immobile à jamais.
Cette femme faisait partie de ma famille,
et avec qui je ne communiquais plus depuis longtemps,
les années ne nous ont pas séparées,
nous n'avons fait que nous croiser.
Et aujourd'hui pourtant, je la revois jeune et désirable
avec mes yeux d'enfants,
la Parisienne avec toute son aura
pour la petite Corrézienne
que j'étais alors.
Je me souviens mes frères, mes sœurs, tels que nous étions
avant que la vie ne nous éparpille.
Et mes larmes coulent sur le sablier intraitable du temps
qui s'écoule inexorablement.
A toi qui est passée,
aux moments que nous aurions pu prendre ensemble,
je te dédie par delà l'espace ces quelques mots.
Retour aux articles de la catégorie PENSEES DU JOUR -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 9 autres membres